Il existe deux manières de devenir voyant. La première est d’avoir un don inné dans l’un des domaines de la voyance. C'est notamment le cas de nombreuses personnes sachant interpréter les faits ou les énergies les entourant. La seconde est de recourir à un apprentissage pour ceux qui désirent en faire un métier.
Un métier d’affinité
En considérant le fait que chaque voyant est un individu à part entière, chaque humain possède sa propre manière d’appréhender les choses. Chaque personne peut apprendre la voyance de manière différente. De plus, la voyance regroupe différents domaines dans lesquels il est possible de se spécialiser. Il y a : la cartomancie, l’astrologie, la lecture des lignes de la main ou la lecture des oracles. Un apprentissage réussi dépend donc de l’affinité que chaque personne est susceptible de développer en utilisant des supports particuliers (cartes, boule de cristal, tarot ou pierres). Le métier de voyant est une profession encore grandement pratiquée par de nombreuses personnes.
L’apprentissage de la voyance
Il n’existe pas de véritables institutions en mesure d’enseigner la voyance. Contrairement à des formations ordinaires qui sont en mesure de délivrer des certificats aux participants, ce n’est pas le cas lors de l’apprentissage de la voyance. Certains arts divinatoires sont parfois transmis d'une génération en génération au sein d'une même famille. Sinon, il est possible pour une personne d’acquérir des connaissances dans des domaines différents de la voyance en lisant des livres ou en demandant à une personne pratiquant le métier de voyant de lui enseigner son art. Pour se perfectionner dans un domaine qui vous intéresse, seule la pratique compte. Si à la fin de votre formation, vous voulez vous lancer en tant que professionnel, vous devez déclarer votre activité de manière légale.
Le choix du statut juridique en tant que voyant
Le métier de voyant professionnel est classé dans la catégorie « profession indépendante ». Il est donc permis, pour toute personne spécialisée dans le domaine de la voyance, de choisir le type de structure juridique. Pour les personnes pratiquant la voyance comme deuxième activité en plus d’être, par exemple, salarié dans une entreprise, elles peuvent être enregistrées en tant qu’auto-entrepreneurs. Pour cela, il suffit de prendre le statut d’EI ou d’EIRL. Vous pourrez alors exercer en gardant votre premier travail. Sinon, pour les personnes désirant en faire leur seul métier, il est conseillé d’adopter le statut d’EURL ou de SASU si vous êtes seul à votre compte.